CNPP et l’AFPCNT annoncent un premier partenariat

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Signé ce jeudi 27 juin 2024, ce partenariat a pour but de développer conjointement des projets relatifs à la prévention des risques naturels et technologiques.

Signature partenariat AFPCNT et CNPP

Face au dérèglement climatique et à la hausse continue du nombre de catastrophes naturelles, CNPP et l’AFPCNT ont identifié deux objectifs communs : développer la culture de prévention des risques naturels et technologiques et améliorer la résilience des territoires français face à ces risques.

Une complémentarité évidente

En 2022, l'AFPCNT, après plus de 20 ans d’expérience, s’est ouverte aux risques technologiques et a engagé des actions ambitieuses afin de développer la culture du risque et la résilience des populations, des territoires et des organisations face aux risques majeurs.

En parallèle, CNPP, traditionnellement investi sur la composante technologique des risques, travaille maintenant sur les deux dimensions, risques naturels et risques technologiques, à travers l’élaboration d’une méthode d’analyse de la vulnérabilité NaTech afin d’accompagner les industriels pour mieux anticiper et prévenir les aléas naturels auxquels ils sont confrontés.

Il est donc apparu évident à CNPP et l’AFPCNT de traduire la complémentarité de leurs actions, compétences et expertises, à travers une feuille de route commune.

 

La feuille de route commune

Ce partenariat signé à l’issue de l’Assemblée Générale de CNPP à Paris, prévoit un certain nombre d’actions comme :

  • la participation conjointe à des webinaires, 
  • l’implication réciproque au sein de groupes de travail, 
  • la co-production de supports de sensibilisation (quiz, plaquette…)
  • l’optimisation conjointe du scénario d’exercice NATECH dans le cadre de la campagne d’exercices Prépa’Risk organisée en 2024 par l’AFPCNT.
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Le mot des présidents

 

Christian Kert, président de l’AFPCNT a déclaré “Depuis 2022, l’AFPCNT a la volonté de devenir une référence incontournable de la prévention des risques majeurs, que ce soit auprès du grand public, des professionnels ou des médias. Notre approche vise à rassembler ces acteurs autour d’évènements et d’actions fortes liés à la gestion des risques. Ce nouveau partenariat avec CNPP s’inscrit tout naturellement dans la feuille de route de nos deux entités. De nombreuses actions sont d’ores et déjà impulsées, concourant ainsi au développement de la culture du risque et de la résilience ! »

 

Pour Patrick DEGIOVANNI, président de CNPP, « ce partenariat s'inscrit pleinement dans la raison d'être du Groupe : créer pour tous un environnement de confiance. En effet, ce risque climatique croissant nécessite de notre part de réunir les meilleures compétences pour offrir un service expert, comme nous savons le faire sur nos domaines historiques. Travailler avec l'AFPCNT, c'est l'assurance de mieux connaître pour mieux servir et protéger nos clients et la Société. »

Patrick DEGIOVANNI, président CNPP - Ghislaine VERRHIEST-LEBLANC, directrice générale de l’AFPCNT - Guillaume SAVORNIN, directeur général CNPP - Sébastien SAMUELI, directeur des relations publiques CNPP - Guillaume BECKER, consultant gestion des risques et des crises, CNPP Conseil & formation

 

 

À propos de de l’Association Française pour la Prévention des Catastrophes Naturelles et technologiques (AFPCNT)

Cette association loi 1901, créée fin 2000 poursuit l’action du Comité français de la Décennie Internationale de Prévention des Catastrophes Naturelles (DIPCN). Soutenue par le Ministère de la Transition Écologique et de la Cohésion des Territoires, l’AFPCNT rassemble des scientifiques, experts, universitaires, élus nationaux et locaux, collectivités territoriales, associations, entreprises ainsi que des représentants de l’État et a pour ambition de devenir l’association nationale de référence dans le domaine de la culture du risque. Elle a pour objet de favoriser la diffusion et la mise en commun des connaissances, des méthodes et des outils dédiés à la réduction des risques de catastrophes notamment d’origine naturelle ou technologique, pour le développement de la résilience aux effets de ces catastrophes sur la santé humaine, l’environnement, l’activité économique, les biens matériels et le patrimoine culturel.

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